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Klodwig
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Sur le pied de guerre Empty Sur le pied de guerre

Dim 26 Jan - 21:39

Sur le pied de guerre


Le crépuscule s'était installé sur le comté Norsand, rendant toutes les bannières noires. Plusieurs camps de mercenaires et gens d'armes de la maison Abessone s'étalaient sur quelque kilomètres entre la rivière et Riekgard. Entre les hommes, les chevaux et les arbres, il était facile de se perdre, et Klodwig s'était perdu. Il passa une dizaine de grands pavillons et une vingtaines de feux de cuisine. Des lucioles flottaient parmi les tentes comme des étoiles errantes.

Il capta l'odeur de la saucisse à l'ail, épicée et savoureuse, si tentante qu'elle fasse grogner son estomac vide. Au loin, il entendit des voix s'élever dans une chanson de débauche. Une femme gloussante passa devant lui, nue sous une cape sombre, son poursuivant ivre trébuchant sur les racines des arbres. Plus loin, deux lanciers se faisaient face à travers un petit filet d'un ruisseau, pratiquant leur poussée et parade dans la lumière déclinante, leurs poitrines nues et glissantes de sueur.

La vie d'un soldat n'était pas sans certaines compensations. Partout où vous avez un camp, vous êtes certain d'avoir des servants du camp. Finalement, Klodwig avait retrouvé la modeste tente qu'ils avaient sortie des magasins de la cité, ils avaient été érigées au centre de quatre feux.

Inquiétude...

C'était sans doute ce qu'il ressentait en ce moment, autour de tous les événements qui ont bouleversé le comté de Norsand. La mort du ''Prince'' à grandement attristé le Baron, il voulais que les responsable soit pendu du haut de sa citadelle. Depuis des semaines on voit les dépôts se remplir à vue d'œil de tout le matériel nécessaire à une petite campagne. Les environs de Riekgard sont couverts de quelque tentes et les murs ont été renforcés de nouvelles palissades et fortifications.

"Combien sommes nous maintenant, mon Seigneurs?", demanda un jeune mercenaire à Klodwig  

"40..50... peut-être 60 hommes, cela importe peu."

"Combien de chevaliers ? "

«Assez peu», dit Klodwig avec une pointe d'impatience.

"Combien de temps avant ... avant notre départ?"

"Nous devons bientôt marcher, ou pas du tout", a déclaré Klodwig.

D'autres attendent de les rejoindre ici à Riekgard, des seigneurs mais surtout des mercenaires, ils sont toujours en route afin de participer au raide contre les maraudeurs. La Compagnie Wolf-Grin attendais avec impatients l'ordre de marche.


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Lun 27 Jan - 14:58

La petite guerre de Tancrède

Alors que le Duché d'Aumont était en proie à la guerre et aux combats entre les troupes royales et celles du Duc, Tancrède, Comte de Norsand, lui, était au prise avec une tribu orcque descendue des steppes Khergits il y a deux semaines. Peu importe ce qui conduisait ces géants des steppes à causer saccages et destructions dans ses terres : le comte ne pouvait les laisser faire. D'autant qu'à cause de cela, il était complètement hors-jeu dans le conflit en cours, et que son seigneur, Louis Maximilien, toujours encerclé à Aumont, ne pouvait donc pas compter sur l'assistance de ses forces dans le conflit en cours. Une bonne partie de son Ost, soit trois cent hommes environ, avaient été rassemblés aux environs de Riekgard, dans le sud du Comté. Pourquoi aussi loin du front demanderez-vous ? Parce que le Comté tout entier était la proie de petits raids réguliers et d'attaques incessantes qui rendaient particulièrement compliqué le rassemblement de l'Ost à un autre endroit. Même Norsand était en proie à des raids réguliers. Et si la place forte n'était pas directement menacée, ses campagnes, en revanches, l'étaient ... Quand à Hautegarde, inutile d'y assembler des troupes. L'état des routes, et la vallée encore sauvage, accroitrait probablement le temps de mobilisation de quelques semaines, voire d'un mois ou deux ...

Bref, Tancrède avait choisi Riekgard, parce que le château était loin d'être minuscule, et qu'il disposait d'avantages stratégiques : ses réserves étaient abondamment garnies, ses campagnes stables, et ses routes en bon état. Au huit octobre, l'Ost fut assemblé. Et Tancrède se prépara donc à sa campagne. Les Orcs se cachaient dans les forêts du Val d'Autun, chez son vassal, la maison d'Amblois. Il avait donc conçu un plan pour les éliminer. Mais il avait besoin qu'une petite troupe se charge de sécuriser ses arrières et de tenir son flanc pendant qu'il allait mener l'affrontement principal. Il distribua ses ordres.

Ainsi, bientôt, alors que le soir tombait sur le camp, un messager arriva au devant de la tente de Klowdig, il portait un parchemin scellé, lequel comprenait des instructions pour la compagnie Wolf-grin.

[PvE] Tâches d'arrière garde


Client : Tancrède d'Abessone (Maison d'Abessone, Neutre - Tendance Loyaliste Aumontois)
Lieu du contrat : Banemont
Réputation minimale : 0
Récompense : 1 500 Danegelds (150 Ducats)
Gain de Renommée : +5 Points
Gain de Réputation :
  • Maison d'Abessone : +10 Points
  • Loyalistes Aumontois : +5 Points
  • Petit peuple du Duché : +5 Points
  • Clans Orcs : Selon la situation -10 ou +10 points (combat honorable)
Pénalités en cas d’échec :
  • -5 points de Renommée
  • -10 points de Réputation envers la Maison d'Abessone
Difficulté du contrat : Facile à Complexe
Nombre de batailles estimées : 1 (rencontres aléatoires exclues)
Durée : Selon vitesse de post, un mois IRL environ
Description : Tancrède d'Abessone a amassé un ost de deux cent cinquante hommes environs pour débarrasser ses terres du Karas Kom'Kazar qui les pille depuis plusieurs semaines. Le camp des orcs a été repéré dans le sous-bois au nord d'Autun, ou il se terre. Le Comte fait donc mouvement avec son armée pour retrouver les forces d'Edmond d'Amblois sous les murs de sa forteresse. Ensemble, ils conduiront leurs forces contre les orcs pour écraser le Karas alors qu'il se repose dans le sous-bois. Cette manœuvre devrait durer un peu moins d'une semaine au total. Mais Tancrède a acquis la certitude que plusieurs bandes de maraudeurs se promènent encore sur ses terres, et représentent donc une menace sur ses arrières dans le cas ou elles rentreraient jusqu'au campement de la horde, à une demi journée de marche d'Autun ...
Objectifs : Rendez vous dans le village de Banemont, avant le onze octobre. Installez des défenses sur place et assurez sa protection jusqu'au quinze octobre. Le quinze, marchez sur Sainte-Jeanne des Pécheurs pour y retrouver les forces de la Compagnie au Chapeau. Ensemble, faites mouvement vers l'Ost principal au seize octobre pour fournir des renforts au Comte s'il devait en avoir besoin.
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Klodwig
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Lun 3 Fév - 22:52

Compagnie, marche !

L'appel vint dériver dans le noir de la nuit. Klodwig se poussa sur un coude, sa main atteignant son épée par la force de l'habitude alors que le camp commençait à bouger. La corne réveilla les dormeurs de la compagnie. La longue note basse s'attarda au bord de l'ouïe, même les sentinelles du mur de Riekgard restaient immobiles sur leurs traces, le souffle chauffant et les têtes tournées vers l'ouest.

Alors que le sont de la corne s'estompait, même le vent a cessé de souffler. Les hommes sont sortis de leurs couvertures et ont cherché leurs lances et leurs ceintures d'épée, se déplaçant doucement et écoutant les ordres du chef.


"Nous marchons aujourd'hui préparer vous à partir et levé le camps. Nous nous dirigeons vers le village de Banemont et la défendront contre des maraudeurs.


Hors des murs, des tentes et des pavillons tombaient. Les écuyers ont jeté des seaux d'eau sur les feux de cuisine, tandis que les soldats ont sorti leurs pierres à l'huile pour donner une dernière bonne lèche à leurs lames.

Le bruit était une marée enflée : des seigneurs criaient des ordres, des hommes d'armes échangeant des jurons et des disciples du camp se chamaillant. D'autre se préparaient à partir et les regardaient franchir le portail, ses hommes marchant après lui dans une double colonne.

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Mer 5 Fév - 9:05

La route de Banemont

[La Date passe donc au 9 Octobre 1225.
Durée du Voyage vers Banemont : 2 jours et 6 heures (de marche s'entend). Tu arriveras à Banemont le 11 Octobre aux environs de 13 heures de l'après midi.
Aucune rencontre pendant la journée du 9 Octobre. Les températures sont convenables. Aucun test de moral à effectuer.
Aucune rencontre pendant la journée du 10 Octobre. Les températures sont convenables. Aucun test de moral à effectuer.
Un événement se produit le 11 Octobre au matin. Les températures se rafraîchissent. Réussite du test de moral.]


La route jusqu'à Banemont se déroula globalement sans encombre. La compagnie progressait à un bon pas, et elle se sépara rapidement des forces principales de l'Ost du Comte. Bientôt, les mercenaires de la Compagnie Wolf-Grin se retrouvèrent à nouveau seuls sur les routes. Un vent froid commença alors à se lever sur la campagne, mais les hommes s'en accommodèrent rapidement, et relativement aisément. Ils passaient aux travers des régions les plus densément peuplées du comté : des terres ou les champs étaient abondamment cultivés, et les villages et hameaux nombreux le long des routes. Ils durent donc régulièrement demander la permission aux leutes et autres propriétaires terriens du coin l'autorisation d'installer leur campement à proximité de quelque petit village isolé ou de quelques autre grosse ferme.

Et c'est justement un beau matin, un peu après qu'ils eurent passer la forteresse de Norsand, et alors qu'ils étaient encore à quelques heures de marche de Banemont, que Klowdig fut sollicité par leur hôte du moment : un leute, vassal du Comte, qui avait accepté que la compagnie s'installe à proximité de sa ferme, sur des terres qui lui appartenait, et leur avait offert l'hospitalité pour la nuit. La nuit avait été agréable, les hommes étaient de bonne humeur, et on rangeait le camp tranquillement ce matin là, lorsque l'homme parut au devant de l'assemblage de petites tentes de la compagnie. Monté sur un cheval léger, que l'on devinait être une bête de guerre, il s'en vînt trouver Klowdig vêtu d'une belle tunique de lin noire et rouge, de braies jaunes, et de souliers de cuir. Un joli béret noir, orné d'une plume rouge coiffait son chef, et il portait également un châle jaune autour du coup. Une bourse rebondie pendait à sa ceinture. De manière générale, l'homme respirait la richesse et l'opulence. Il était accompagné de deux valets, armés d'épées courtes, et couverts de tuniques de cuir, et de l'une des jeunes filles qui avait servit les mercenaires la veille. L'un et l'autre semblaient se toiser avec colère, et la fille fit la moue lorsque le cavalier alpaga le chef des mercenaires :

Leute : Messire, fit-il d'un ton cordial, ou pointait une note d'agacement, je viens vous trouver ce matin car je suis confronté à un sérieux problème. Voyez-vous, il se trouve que l'un de vos hommes s'est permit d'abuser de mon hospitalité cette nuit. Ma fille, ici présente, a découché, et j'ai découvert, en la confrontant ce matin même, que c'est parmi vos hommes qu'elle a passé la nuit. Je ne saurai les accuser de l'avoir déshonoré sans preuve. Mais je ne peux non plus me montrer ignorant de ses frasques, et je souhaiterai que vous fassiez ce qui est en votre devoir, en trouvant ce que cette idiote a bien put faire dans votre camp, et si l'acte a bien eut lieu, en faisant en sorte que le coupable soit châtié, et les réparations dûment payées. Comprenez bien que la naissance d'un petit bâtard en ma maison serait fort incommodante pour ma réputation, et pour le mariage de cette enfant ...

L'affaire était effectivement problématique. En temps qu'enfant du pays, Klowdig savait bien qu'en Aumont, il était tout à fait impossible de marier une fille déjà mère, à moins qu'elle ne soit la veuve d'un homme fortuné. Mais un simple regard sur cette enfant, qui ne devait pas avoir dix-huit ans, lui permit de comprendre relativement aisément, qu'il serait compliqué de la faire passer pour une veuve au regard de son futur époux ... Sans parler de la réputation du futur grand-père : les leutes étaient nobles, mais uniquement à titre viager. Ils s'étaient distingués au combat, et obtenaient ainsi cette dignité de la part de leur seigneur, ainsi que leurs terres. Toutefois, ils restituaient leurs titres et leurs terres à leur mort, et c'était à leur enfant d'égaler les exploits de leur paternel pour retrouver leur stature. En conséquence, dans ce processus, la réputation et l'honneur faisaient tout ... Ou presque tout ...
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Klodwig
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Mer 19 Fév - 20:49

Compagnie, marche !

De son côté,  passèrent une dernière fois en revue les membres de son peloton alignés devant les tentes de la compagnie. Une fois les hommes rassemblés en tenue de combat sur la place centrale, Klodwig savait qu'il n'avait pas affaire à des légionnaires de l'orient. Il savait que sa compagnie est composée de jeunes bleusailles durement entraînées mais douloureusement inexpérimentées, la plupart ayant cru pouvoirs découvrir le monde ou partir à l'aventure en joignant sa compagnie. Lorsque l'homme parut au-devant  de l'assemblage de petites tentes de la compagnie, Klodwig pouvait en dire longtemps que ce n’était pas qu'une visite de courtoisie qui allait l'attendre.

"Je vous salue messire, que me vaut votre humble présence dans notre campement''

Klodwig écouta en silence et avec attention les propos du seigneur, y voyant parfois méfiance, tout comme des paroles compréhensibles pour un homme de sa position. Restant songeur et à l’écoute il  pensait qu’il pourrait  préserver le dialogue et se montrerait accommodant.

"Je comprends la situation messiers mais je ne peux punir mes hommes pour un crime n'ayant peut-être jamais eu lieu. En tant qu'homme d'honneur je ne peux pas non plus ignorer un possible méfait ''

Se tourne vers ses soldat aligner et marche entre les ligne dévisagent chaqu'un d'entre eux.

"Lequel de vous a passé la nuit avec la fille du seigneur ! Je ne lui en veux pas d'avoir passé une nuit avec une femme. Nous sommes tous des hommes après tout. S'il se présente maintenant et nous explique le déroulement de la soirée ça punition sera réduite de moitié.

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Jeu 20 Fév - 21:21

La route de Banemont

Après de longues minutes d'attente, un jeune homme fut bientôt poussé en avant par l'un de ses camarades. Il se retourna et murmura rapidement quelque chose à l'attention du coupable, qui lui répondit avec un sourire goguenard. Lorsque Klowdig s'approcha, il constata qu'il avait affaire à l'une de ses plus jeunes recrues : un fils de fermier, recruté il y a quelques semaines dans les environs de Vielle, au demeurant pas un mauvais bougre. Âgé d'une quinzaine d'année, peut-être seize ou dix-sept, le gamin était un type costaud, et robuste, plutôt gâté par la nature pour ce qui était du physique, et pas vraiment le genre timide. Klowdig se rappela alors que le bonhomme s'était engagé sans trop savoir ce qu'il faisait, plus pour la frime et pour impressionner les donzelles que pour le goût de l'aventure, le besoin de changer de vie, ou l'argent. Il se rappelait même avoir eut une discussion avec le père du gamin, qui lui demandait de ne pas l'emmener et proposait de payer pour compenser la perte d'une telle recrue. Sauf que Klowdig avait besoin d'hommes pour reconstituer ses forces à l'époque. Et que le gamin, s'il n'avait pas l'air d'être une lumière, et n'avait probablement jamais porté une arme de sa vie, était bien bâtit.

Large d'épaule, la mâchoire carré, et le regard vif et alerte, c'était l'un des spadassins de la troupe. Un bonhomme plutôt grand, qui dépassait son capitaine d'une demi-tête (ce qui en faisait un sacré gaillard !), avec des mains grandes comme des poëles et des bras aux muscles noueux et puissants. Il faisait partie des spadassins de la troupe, et jusqu'à présent, il s'était toujours bien tenu. On ne pouvait certes pas dire que le respect de la discipline était son truc, mais il travaillait bien, obéissait suffisamment souvent et correctement pour qu'on ne trouve pas trop à y redire, et était somme toute relativement apprécié par ses compagnons pour son sens de la camaraderie, et la main secourable qu'il représentait pour eux. Au final, ce lascar qui ne devait pas être un soldat, s'était révéler une bonne recrue jusqu'à présent. Restait naturellement à l'éprouver sur un champ de bataille bien sûr ... On l'appelait Bertholt, croyait se souvenir Klowdig ...

Il se tenait là devant son capitaine en se tordant les mains, et commença d'une petite voix presque ridicule :

Bertholt : Ben ...C'est à dire que ... On m'a toujours dit qu'il fallait pas trop parler de ces choses là ...

Il leva les yeux en direction du leute, sur son cheval, accompagné par sa fille qui fusillait littéralement le géant du regard.

Leute : Je crois que l'attitude de ces deux là nous en dit suffisamment capitaine. Je n'ai pas besoin d'en savoir d'avantage. Versez-moi une compensation, ou confiez moi le garçon, je verrai à informer son père de ses frasques, et tâcherai de voir s'il constitue un bon parti pour Éléonore. Dans le cas contraire ... Et bien je suppose que je trouverai du travail pour lui à la ferme jusqu'à ce qu'il puisse me rembourser l'effarante somme qui risque de devenir la dot de ma fille ...

Klowdig savait qu'en Aumont, contrairement à beaucoup d'autres endroit, le principe du douaire était très répandu ... Sauf dans certains cas, ou la fille semblait faire un parti bien moins intéressant que l'époux. Et c'était justement le cas ici. Alors que notre Leute aurait put espérer marier sa fille et accompagner le mariage d'un douaire tout à fait honorable qu'elle aurait reçu de son époux, si celle-ci avait déjà enfanté, et qu'elle était déjà mère, d'abord il pouvait dire adieu à la possibilité de la marier à un chevalier (ce qui était possible vu son statut) et ensuite, il pouvait s’asseoir sur le douaire. Il était bien plus probable qu'on lui demande de payer, à lui. Quand au gamin qui naitrait de cette nuit frivole, il n'allait assurément pas connaître une vie très heureuse.
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